🖊/ Sanitaire, social, éducation : au tour du collectif Marsan Citoyen d’écrire à Charles Dayot.

48 heures après le Nouvel Elan Populaire , le collectif citoyen montois ( 9, 28 % des voix au scrutin du 15 mars dernier) interpelle le maire de Mont de Marsan et président de l’Agglo , et de pointer à leur tour le prix selon eux  » trop élevé   , surtout pour les familles nombreuses et les personnes avec peu de ressources.  » De même, Marsan Citoyen interroge l’édile montois :   »  Le Conseil départemental des Landes et l’Association des Maires des Landes (AML) ont organisé une commande groupée de masques pour les communes du département. Avez-vous saisi cette opportunité ?  » et réclame la mise à disponibilité d’une salle municipale pour permettre à des couturières bénévoles de confectionner des masques gratuits, à l’instar de qui se fait à Benquet ou Gaillères.

De même , le collectif appelle à l’ouverture de lieux d’accueils pour toutes les personnes victimes de violences, qu’il s’agisse de femmes, d’enfants ou d’hommes mais aussi pour les Sans Abris dont la situation s’est encore plus dégradée depuis le début du confinement . Réclamée également la réouverture des toilettes publiques, l’assouplissement de l’ accès aux sanitaires , des requêtes pour lesquelles « aucune réponse satisfaisante n’a été apportée  » et ce  » après plusieurs relances par téléphone auprès de vous ou de votre Directeur de cabinet « .

Interrogations en conclusion le dossier éducatif et la (les) rentrée(s) à venir : celle du 11 Mai,  » Comment envisagez-vous cette reprise sur l’Agglomération ? Quelles sont les mesures prises pour assurer un accueil des élèves ?  » et celle de septembre , avec la fermeture annoncée de 2 classes sur l’Agglomération à la rentrée prochaine : l’une à l’école du Carboué de Mont-de-Marsan, l’autre dans le Regroupement pédagogique intercommunal de Gaillères, Bostens et Pouydesseaux.  » Alors que la situation sanitaire actuelle souligne tout l’intérêt de réduire les effectifs des classes pour éviter toute propagation de virus tels que le COVID-19 que nous sommes menacés de rencontrer de plus en plus souvent, il apparaît inconcevable d’envisager la fermeture de classes sur notre Agglomération, et encore moins d’école comme c’est prévu à terme avec celle du Carboué.  »